Cerisy la Salle, 1-8 juillet 2004 Programme

July 1, 2004

George Sand Bicentennial Events>Colloque international de Cerisy-la-Salle Colloque international de Cerisy-la-Salle Jeudi 1er juillet – jeudi 8 juillet 2004 «L’écriture sandienne: pratiques et imaginaires»

Jeudi 1er juillet 19H: accueil des participants

Vendredi 2 juillet – matin (Toutes les communications sont fixées à trente minutes et à vingt minutes pour les tables rondes) Introduction du colloque: Brigitte Diaz, Isabelle Naginski

Les genres en jeu

Yves Chastagnaret: «Les hésitations génériques dans les premières œuvres de George Sand»

Simone Bernard-Griffiths: «Metella (1833) de George Sand, une écriture en miroir»

Françoise Genevray: «Adresse épistolaire et écrits intimes: manipulations intergénériques autour des Lettres d’un voyageur »

Vendredi 2 juillet – après-midi Formes de la fictionNathalie Buchet- Rogers: «Aux limites du genre: séduction et écriture dans Isidora»Maryline Lukacher: «Grandeur et servitude du roman- feuilleton, Consuelo»

Pierre Laforgue: «L’impossible clôture du roman sandien»

Samedi 3 juillet – matin Identité, altéritéJanet Beizer: «Autonymies: François la Fraise et le nom du corps»

Marie-Claude Schapira: «Entre dire et taire: la poétique de la douleur dans l’œuvre sandienne»

Marie-Claire Vallois: «Ré-écrire la famille: hérésie et merveilles sandiennes (1845-1855)»

Samedi 3 juillet – après-midi Christine Planté: «Le discours sur le roman dans le roman»Table ronde: George Sand conteur (communications de 20 minutes)Marie-Cécile Levet: «“La question est de savoir s’il y a des fées ” ou George Sand conteur»Sylvie Veys: «Du populaire au littéraire: constantes et variations des Contes d’une grand-mère»Merete Stistrup-Jensen: «Le fantasme de la voix et de la langue secrète dans les Contes d’une grand-mère».

Dimanche 4 juillet matinRéalismes sandiensNigel Harkness: «“Ce marbre qui monte jusqu’aux genoux ”: pétrification, frigidité et réalisme dans Lélia (1833 et 1839)»Anne McCall-Saint-Saëns: «Pour une littérature industrielle: du produit Sand»

Dimanche 4 juillet – après-midiPoétique de l’espaceCathy Nesci: «La flâneuse travestie: George Sand et la polyphonie urbaine»Pascale Auraix-Jonchière: «Mythopoétique de l’espace romanesque dans Lucrezia Floriani et Le Château des Désertes».

Roland Le Huenen: «George Sand et l’écriture du voyage».

Lundi 5 juillet – matinMythologies sandiennesBéatrice Didier: «George Sand et l’imaginaire de la musique»Isabelle Naginski-Hoog: «George Sand mythographe»

Lundi 5 juillet après-midi- libreMardi 6 juillet matinLe laboratoire de l’écrivainJosé-Luis Diaz: «Un “écolier littéraire” à la recherche de son identité (1831-1833)»Annabelle Rea: «La Filleule, un roman “exclusivement littéraire”»Françoise Massardier-Kenney: «Valvèdre, d’un manuscrit à l’autre»

Mardi 6 juillet – après-midiDu roman à la scène Catherine Masson: «George Sand et l’“auto-adpatation” de ses romans à la scène»

Olivier Bara: «George Sand et le renouveau du roman de comédiens: fonctions de la représentation théâtrale dans la scène romanesque»

Jacinta Wright: «George Sand: théorie et pratique de l’intertextuel»

Mercredi 7 juillet – matinVoix auctorialesBrigitte Diaz: «“On ne changera pas un mot à mon ouvrage”: travail et présence de l’écrivain dans la correspondance de George Sand»Damien Zanone: «La scène des préfaces: George Sand et l’inspiration»

Claire Barel-Moisan: «Pour une poétique de l’adresse au lecteur dans les préfaces et les fictions sandiennes»

Mercredi 7 juillet après-midiTradition et invention dans le roman sandienMartine Watrelot: «Le Compagnon du Tour de France: entre tradition et invention»

Catherine Mariette-Clot: «Comment écrire l’histoire du cœur ou le réalisme sentimental dans les romans de George Sand»

Brigitte Lane: «George Sand et l’imaginaire celtique: jeux métaphysiques et textes à double lecture»

Jeudi 8 juillet matinPoétiques sandiennesDavid Powell: «Entre Mozart et Beethoven: le style romanesque de George Sand»Marie-Eve Therenty: «“Chaos” ou “poétique éditoriale”? Les Œuvres complètes de George Sand par Michel Lévy»Conclusion du colloque